Les puits sont à sec, les régions fertiles sont devenues arides et toutes sortes de cultures ont disparu. Des vagues croissantes de migrants et de déplacés affectés par la crise de l’eau ont envahi ces régions. C’est ainsi que la situation s’est développée dans les régions frontalières tunisiennes avec l’Algérie après que la sécheresse les ait frappées en raison de la rareté des pluies, mais surtout en raison de l’exploitation excessive des ressources en eau par l’État algérien à cause de la construction de nombreux barrages sur des cours d’eau communs, sans intervention claire de l’État tunisien pour défendre son droit à cette richesse réglementée par le droit international.
andi-doussi

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